Charles Dickens
Landport, Hampshire, 1812 - Gad's Hill, 1870 (Angleterre). Sans doute, le romancier anglais le plus connu au monde. Il connaît ses premiers succès littéraires avec Les Papiers posthumes du Pickwick-Club (1836-1837), et confirme sa popularité lorsqu'il dépeint dans une dizaine de principaux romans, non sans sensiblerie, les abus du capitalisme naissant et les laideurs de la société victorienne : Nicolas Nickleby, 1839 ; Le Magasin d'antiquités, 1840 ; Martin Chuzzlewit, 1843 ; Dombey et fils, 1848 ; David Copperfield, 1849-1850 ; Bleak House, 1852-1853 ; Les Temps difficiles, 1854 ; Les Grandes espérances, 1861, et Notre ami commun, 1864-1865. Par son activité d'éditeur (les revues Household Words, 1850-1859, et All The Year Round, 1859-1870), il a encouragé de jeunes écrivains (comme Wilkie Collins) et fortement contribué à l'essor du conte fantastique anglais.

Nouvelles
Histoire de l'oncle du commis-voyageur / The Story of the Bagman's Uncle
— in [Dickens] The Posthumous Papers of the
Pickwick Club, London : Chapman & Hall, chapitre
XLIX, septembre 1837 (17e livraison sur 20).
— in Contes
étranges. Première série, éd. Anonyme, Paris :
Les Ordres de la Chevalerie ; Roanne, “coll. littéraire,
Les Ordres de la Chevalerie”, 1945, p. 49-71, traduit de
l'anglais par Jules Castier, sous le titre
« Histoire de l'oncle du
commis-voyageur ».
L'Arbre de Noël / A Christmas Tree
— in Household Words, 1850.
— in Les Contes de Charles Dickens, vol. 3, Paris
: Librairie d'Amyot, 1853, traduit de l'anglais par
Amédée Pichot.
— in Contes
fantastiques de Noël, éd. X. Legrand-Ferronnière,
Paris : EJL, “Librio ; 197”, 1997, traduit de l'anglais
par Amédée Pichot, p. 29-44.
Le Signaleur / L'Aiguilleur / No. 1 Branch Line : The Signal-Man / The Signalman
— in All the Year Round, Christmas, 1866, ill. Clarkson Stanfield.
Huit récits “ferroviaires” au total pour ce numéro spécial de Noël intitulé Mugby Junction (L'Embranchement de Mugby). Charles Dickens en a écrit les quatre premiers : «Barbox Brothers»; «Barbox Brothers and Co.»; «Main Line. The Boy at Mugby» et «No. 1 Branch Line: The Signal Man». Des nouvelles écrites après la catastrophe de Staplehurst (Kent) survenue le 9 juin 1865 de laquelle Dickens sortira indemne. Dans la série “Branch Line”, voir le troisième conte de Charles Collins et le cinquième d'Amelia B. Edwards.
— in Histoires
anglaises de fantômes, éd. E. Rocart et J.
Staquet, Bruxelles : Editions « La Boétie », 1945
(sept.), p. 147-162, traduit de l'anglais par E. Rocart
et J. Staquet, sous le titre : « L'Aiguilleur ».
— in
Fantastique, soixante récits de terreur, éd.
Roger Caillois, [Paris] : Le Club français du livre,
“Récits ; 25”, 1958, p. 24-33, traduit de l'anglais par
Sylvère Monod, sous le titre : « Le Signaleur ».
— in
Anthologie du fantastique. Tome 1, éd. Roger
Caillois, Paris : Gallimard, 1966 (& 1978), p. 47-63,
traduit de l'anglais par Sylvère Monod, sous le titre :
« Le Signaleur ».
— in Le Nouveau Planète, n° 17, juillet 1970, p.
109-117, traduction de Patrick Reumaux, sous le titre :
« Le Signaleur », ill. Nicolas Morel. Annoncé comme
inédit...
— in Histoires
de fantômes, éd. Jacques Goimard & Roland
Stragliati, Paris : Presses Pocket [#1463], “La Grande
Anthologie du fantastique ; 4”, 1977, p. 31-53
(présentation p. 31-33), traduit de l'anglais par Sylvère
Monod, sous le titre : « Le Signaleur ».
— in Les
Maîtres du fantastique. Tome 2, éd. Anonyme,
[Genève (Suisse)] : Éditions Vernoy & Éditions Famot,
1980, p. 193-211, sans mention de traducteur, sous le
titre : « Le Spectre du cheminot ».
— in
Nouvelles fantastiques anglaises / Stories of
Mystery, éd. Jean-Pierre Naugrette, Paris : Le
Livre de poche [#8729], “Les Langues modernes / Bilingue.
Série anglaise”, 1990, p. 81-127 (notice p. 79), traduit
de l'anglais par Jean-Pierre Naugrette. Texte bilingue.
Sous le titre : « Le Signaleur ».
Un procès criminel / Une cause criminelle / The Trial for Murder / To Be Taken with a Grain of Salt
— in All the Year Round, Christmas, 1865.
Ce numéro de Noël est composé d'une suite de récits parus sous le titre de Doctor Marigold's Prescriptions. Les contributions de Dickens sont : I. To be taken Immediately; II. To be taken with a Grain of Salt (et réédité plus tard sous le titre de « The Trial for Murder », la première des « Two Ghost Stories » des Christmas Stories de Dickens), et III. To be taken for Life. Ce récit est parfois indiqué comme ayant été co-écrit avec Charles Collins.
— in Histoires
anglaises de fantômes, éd. E. Rocart et J.
Staquet, Bruxelles : Editions « La Boétie », 1945
(sept.), p. 147-162, traduit de l'anglais par E. Rocart
et J. Staquet.
— in
Fantastique, soixante récits de terreur, éd.
Roger Caillois, [Paris] : Le Club français du livre,
“Récits ; 25”, 1958, p. 15-23, traduit de l'anglais par
Sylvère Monod, sous le titre : « Un procès criminel
».
— in
Anthologie du fantastique. Tome 1, éd. Roger
Caillois, Paris : Gallimard, 1966 (& 1978), p. 33-46,
traduit de l'anglais par Sylvère Monod, sous le titre :
« Un procès criminel ».

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